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Mélusine - Page 4

  • Marine d'Arc

    marine.jpgJeanne d'Arc disait "J'aime beaucoup  les Anglais, mais chez eux". Marine d'Arc nous dit la même chose à propos des Anglais d'aujourd'hui, enfin... les Anglais du Sud. Ils sont très bien chez eux.

    Depuis longtemps, je savais pour qui ne pas voter. Aujourd'hui, je dois faire mon choix, celui du vote utile, hélas, malgré la présence de plusieurs candidats de grand mérite. Mon choix est fait, pour le premier et le second tour.

    Le peuple français, le souverain selon la constitution, c'est le petit roi de Bourges. Marine, c'est un peu une Jeanne (une Jeanne qui aurait eu des enfants) que nous ne laisserons pas brûler par les Anglais du Sud et le tribunal ecclésiastique de l'évêque Cauchon d'aujourd'hui. 

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  • M...comme Macron

    covid-ukraine.jpgUne actu chasse l'autre. Leur point commun, c'est la manière dont elles sont traitées toutes deux par les mass-médias et les grands réseaux sociaux: d'une façon totalitaire. Macron venait d'insulter, de manière calculée, les français non vaccinés en parlant de les "emmerder", et déjà, la guerre en Ukraine offrait l'occasion de mobiliser l'opinion publique sur un thème politiquement correct: le nouveau virus, c'est Poutine.

    La minorité, ou supposée telle, c'est à dire les anti-vaccins ou les pros-russes, subira le sort déjà prévu par Jean-Jacques Rousseau dans le Contrat social: "on les forcera d'être libres".

    Je ne sais pas encore pour qui je voterai aux prochaines élections, mais je sais pour qui je voterai pas: "Monsieur M".

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  • Le complot des virologues

    pass-sanitaire.jpgLe Président Valéry Giscard d'Estaing est mort du Covid. Dans les statistiques morbides de monsieur Salomon, il compte pour "un". Or, c'est faux. VGE n'est pas mort du Covid, il est mort de vieillesse, presque centenaire, après une vie bien remplie.

    Imaginons que je meure demain, et que l'on me trouve le Covid. J'aurai l'honneur d'être considéré comme "un" cas, aux côtés de VGE. Or ce serait encore faux, car je serais mort, d'abord du diabète insulinodépendant, ensuite d'un Accident Vasculaire Cérébral, enfin du Covid.

    En revanche, les virologues, qui "voient" les virus, ne voient pas les suicides supplémentaires, causés par le confinement, les tentatives de suicide, les violences conjugales, les dépressions nerveuses, les folies furieuses qui augmentent.

    Lorsque j'ai été frappé par mon AVC, comme je le raconte dans mon livre "Un idiot dans la ville", j'ai d'abord été admis en hôpital psychiatrique, les mains liées dans le dos, puis je suis remonté à la surface, et j'ai pu être soigné. Mais si mes infirmiers psychiatriques n'avaient pas eu de visage, mais un masque à la place, j'y serai encore, en train de hurler à la mort, avec une "camisole chimiques" de médicaments.

    Or ces infirmiers ne quitteront plus leurs masques pendant cinquante ans. La médecine ultra-moderne fabrique des fous furieux. Si j'avais eu mon AVC ces derniers mois, ce n'était pas la peine de me sauver la vie.

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  • Tapie pas mort

    tapie3.jpgA-t-on le droit de dire du mal d'un homme qui vient de mourir ? On a le droit d'en dire de ceux qui lui survivent comme on a le droit de ne pas lire cet article...

    Tapie, enterré en grande pompe politique, sportive et religieuse, avait une gueule d'entrepreneur, rien de plus. En fait, c'était un escroc de grand talent. Sarko ressemblait à un homme d'action, en réalité c'était un bonimenteur, doué d'un réel talent commercial, capable de vendre un eskimo glacé au pôle nord, ou du sable au Sahara, comme le montre l'excellent Jean Dujardin dans le film « Présidents ». Quand à Macron, cet énarque-financier qui a épousé sa mère, il joue au petit père du peuple qui a sauvé la France d'un méchant virus, grâce au « quoi qu'il en coûte », que paieront nos enfants.

    Quel est, finalement, le point commun entre ces trois personnages, a priori fort dissemblables ? Ils représentent, le premier une gauche qui se renie, l'autre une droite qui ne croit plus en ses valeurs, le troisième un centre qui fait l'un et l'autre à la fois. Ils sont tous les trois post-modernes. Les grandes idéologies ont disparu, reste leur talent à faire croire qu'ils ont toujours des idées. La communication remplace l'éloquence, la forme anéantit le fond, même s'ils sont peut-être les premiers convaincus par leur discours.

    Sarko est un Tapie de droite, Macron un Tapie du centre. Tapie n'est pas mort, hélas !

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  • Journées du patrimoine au château des Ousches

    lesousches.jpgJournées du patrimoine, 18-19 septembre 2021,  au Château des Ousches, près de Melle (XVe, XVIIe, XIXe siècles)

    Promenades et visites guidées dans les jardins, comme chaque année.

    Plusieurs écrivains de la région et de toute la France dédicaceront, pour la première fois au château des Ousches, leurs livres, dans les salles voûtées du château (14h-18h).

    Liste des auteurs présents, non exhaustive à ce jour :

    • Annick Aubouin, Nous nous Sompt tant aimés ! Société des écrivains
    • Laurent Brémond (avec Anémone) Je préfère les génies aux abrutis, Robert Laffont
    • Pierre de La Coste Un idiot dans la ville, Persée
    • Sophie de Jouffroy, livres pour enfants (illustrations), Lulu.com
    • Alexandre Moatti Alterscience, Odile Jacob
    • Frédéric Rouvillois Liquidation, Le Cerf, Un mauvais maître, La Nouvelle Librairie, Les fidèles, Pierre-Guillaume de Roux
    • Richard de Sèze Les 33 meilleures blagues de Jésus, Le Cerf.
    • Daisy de Vasselot Ils étaient sept, Ils sont huit, Ils seront le monde, Persée
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  • AVE CAESAR

    gwencouv.jpegJe ne sais plus lire, je ne sais plus écrire. Tiens, j'ai écrit cela et je l'ai relu. Je sais donc à nouveau lire et écrire, pour la première fois depuis mon accident vasculaire cérébral (AVC), il y a plus d'un an.

    Pour me rappeler ces trois lettres, A,V, C, je dois passer par la formule « Ave César », ancrée dans ma mémoire ancienne. Ave Caesar morituri te salutant, disaient les gladiateurs, ces esclaves-combattants, avant de s’affronter devant le peuple et l'Empereur.

    Je n'avais probablement jamais cessé de savoir lire et écrire, mais je ne le savais pas. J'avais oublié que je savais lire et écrire, ce qui revient au même. La peur panique d'avoir à repasser par le long apprentissage des classes maternelles, la 12ème, la 11ème, la 10ème, toutes les étapes obligées de l'enfance et de l'adolescence, me paralysait. A tort, donc.

    Tout, ou beaucoup, est en train de revenir, contrairement à mes prévisions les plus pessimistes. Tout revient douloureusement, dans le désordre, par blocs. Pour l'instant, tout va, dans la douleur, dans le bon sens... Mais combien de temps ? L'état de ma mémoire est supportable, parce qu'il est provisoire. Reviens, mémoire ! En dehors de toi, il n'y a rien.

    Néanmoins, main droite demi paralysée, vision amputée à droite, mémoire encore largement défaillante, j'écris lettre par lettre, pour me souvenir. Je devrai néanmoins me ménager, cela tombe bien, on écrit toujours trop.

    Je pense à l'effort surhumain de mon frère humain, Jean-Dominique Bauby, écrivant son livre, Le scaphandre et le Papillon, (Robert Laffont, 2011), sans aucun contact avec l'extérieur. J'ose dire, néanmoins, que ma situation est pire encore que la sienne, puisque sa mémoire et son intelligence, selon ce livre, étaient restées intactes. Ce qui n'est pas mon cas. Mais oserais-je envier la situation qui fut la sienne ?

    Tout est mémoire. Rien n'existe en dehors de la mémoire, même si elle est enfermée dans un cerveau sans pouvoir en sortir. « Nous sommes libres dans ce qui dépend de nous », comme le dit un auteur ami, dont j'ai oublié le nom. Nous sommes peut-être tous libres, enfermés dans notre mémoire.

    Bien entendu, l'idée de mettre fin à mes jours n'a jamais cessé de me hanter, de m'occuper jour et nuit, depuis mon accident : tous mes organes, toutes les cellules, tous les atomes qui composent mon corps ont cessé d'avoir envie de vivre ensemble...

    Mais, finalement, tout bien considéré, je vais écrire un livre, plutôt que de me suicider. C'est sans doute une erreur, mais moins grave que la première et le bon Dieu, avec qui je parle de temps à autre, voudra bien me la pardonner, celle-là, la seconde, alors qu'il n'aurait rien pu faire pour la première.

    Je suis étrangement vieux et jeune à la fois – 57 ans – , et ma vie vient de passer par cet effroyable carnage de neurones, dont elle ne se remettra peut-être jamais. Ce livre, j'aurais préféré ne pas avoir à l'écrire, mais, si rien n'est pire que de devenir idiot, rien n'est meilleur que de l'avoir été.

    Lecteur, arrête de le feuilleter distraitement, mon livre, chez le dernier libraire de ton quartier qui ne soit pas encore transformé en restaurent japonais ! Achète-le, nom de Dieu ! Tu verras qu'il parle de choses qui pourraient t'arriver... mais non, n'aie pas peur, bon sang ! Il n'est pas si lugubre que ça. Achète-le, mon livre, ou je me suicide ! hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère...

    Un idiot dans la ville, Editions Persée, diffusion Hachette.

    Merci à Bertrand Jouvenot pour le premier article consacré à Un idiot dans la ville.

     

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  • J'aime Big Brother!

    bigbrother.jpgJe me suis fait vacciner. "J'aime Big Brother!", comme dit le héros à la fin de 1984 d'Orwell. C'est bon, je suis normal, le peux aller au restaurant ou au cinéma, prendre le train, rentrer dans n'importe quel supermarché.

    Je suis donc allé casser la croute dans un petit café, dans une petite ville de province et on m'a demandé mon pass sanitaire, avec QRcode et on a enregistré mon identité! Devant moi, une femme demande un café en terrasse, on lui demande son QRcode! Une amie se fait refuser l'entrée dans un restaurant d'une charmante petite ville de bord de mer.

    Juste un détail: contrairement au malheureux héros d'Orwell, je fais semblant d'aimer Big Brother, mais ne le dites à personne... Et vous?

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  • Un idiot dans la ville

    AVCcouv.jpgUn homme perd son cerveau.

    Tout s'efface et s'effondre avec sa mémoire qui disparaît. C'est comme une bombe qui lui explose au visage et bouleverse totalement son existence. Il est ramené à la vie par les autres, médecins, infirmières et spécialistes, contre son gré et à son corps défendant.

    Puis il doit se reconstruire, bon gré mal gré, à partir de rien, son cerveau vide, dans lequel ne subsiste que l'idée de Dieu. Comme dirait Descartes. .

    Pierre de La Coste, probablement âgé d'une cinquantaine d'années, a publié plusieurs romans et essais. Il était cadre dans une grande entreprise française de communication et a été conseiller de plusieurs ministres, avant d'être victime d'un grave Accident Vasculaire Cérébral.

    Dans ce roman, largement anti-autobiographique, humoristique et surréaliste, il se suicide plusieurs fois.

    A paraître aux éditions Persée, diffusion Hachette livres

     

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  • Après le vaccin, l'euthanasie?

    euthanasie.jpgOublions un instant les erreurs du gouvernement, les vaccins qui n'arrivent pas, les entreprises paralysées, l'éducation sinistrée, les subventions jetées par les fenêtres, les hôpitaux débordés dans certaines régions de France, et tout ce que j'oublie.

    Tentons de nous tourner vers l'avenir. Tous les déficits ont explosé, et plus que jamais des pays comme la France vivent à crédit. Des secteurs entiers de l'économie mettront des années à se relever ou ne se relèveront jamais. Mais il y a bien pire. Les dépressions nerveuses explosent, disent les psychiatres. Suicides et tentatives de suicide, viol et violences conjugales augmentent, mais on ne saura jamais leur nombre.

    Les enfants et les adolescents, épargnés par le virus, ne le sont pas par la pertes d'années et de mois d'éducation et de formation essentiels, nous disent timidement des spécialistes de la psychologie enfantine. Tout cela pour sauver des morts vivants ... comme moi (diabétique insulinodépendant, victime d'un grave AVC). La plupart des victimes du Covid seraient mortes dans un mois, deux mois, six mois... Certes, si l'on avait eu autant de lits d'hôpitaux qu'en Allemagne, on aurait pu en sauver plus, mais sinon, eh bien, la mort fait partie de la vie.

    La médecine ultramoderne n'a pas mal soigné, elle a trop bien soigné. Résultat: combien de vielles dames en soin intensif dans les maisons de retraites médicalisées sont mortes de chagrin sans pouvoir embrasser leurs petits enfants? Si l'on veut supprimer la mort, il faut supprimer la vie. Pour moi, je préfère prendre le risque de vivre. Il est donc certain que la médecine ultramoderne "vaincra" le virus et va crier victoire. Elle recommencera à sauver toujours mieux les morts vivants, en creusant encore les déficits et les dettes publiques. Mais les financiers et les assureurs ne l'entendront pas de cette oreille. Le processus de légalisation de l'euthanasie est déjà en cours. Il va s'amplifier. On prolongera à l'infini des vies de plus en plus intolérables et la tentation du suicide assisté par la science et la médecine s'imposera sourdement. L'euthanasie est l'avenir de la médecine.

    Joyeuses Pacques quand même.

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  • Donald pas mort

    DonaldDuck.jpgDonald a donc échappé à son "procès en destitution" qui n'en était pas un et va revenir en politique, plus que jamais. Rassurez-vous, bonnes gens, un tel personnage, typiquement américain, est pratiquement impossible chez nous. Mais c'est tout de même l'occasion de porter un jugement sur Donald, sortant des commentaires politiquement corrects dont on nous abreuve.

    Tout d'abord, Donald est loin d'avoir subi la déroute électorale, prévue par les sondages (source: Wikipédia): Donald a obtenu  74 millions de suffrages, soit 47% et 232 grands électeurs. Contre 82 millions, 52%, et 306 grands électeurs pour Biden.

    C'est une conséquence de ses bons résultats économiques liés à la volonté de rapatrier les emplois au pays et au changement d'attitude avec la Chine qui en est la conséquence. Même dans le domaine de la santé, la rapidité avec laquelle les vaccins ont été déployés, dans la lutte contre le coronavisus, a été mis à son avantage.

    On a pu être effaré par l'affaire du congrès envahi par ses partisans. Deux Amériques se dressent l'une contre l'autre, certes, mais ce n'est pas la première fois. L'incroyable souplesse du système fédéral permet d'éviter l'explosion, mais les US de Donald ne sont pas morts.

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