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Santé

  • Dr Laurent et Mr Alexandre

    LaurentAlexandre.jpgJ'ai rencontré Laurent Alexandre il y a quelques années, lors d'un colloque sur les "nouvelles technologies" dont je m'occupai. Avant la réunion et sans raison apparente, il m'a posé la question suivante, à brûle-pourpoint :

    - Est-ce que tu sais combien d'enfants mongoliens naissent chaque année en France aujourd'hui? Aucun! Ils sont tous détectés avant la naissance et avortés...

    Tout Laurent Alexandre est dans cette réponse autosuffisante. Il ne prend pas parti, ni ne donne son opinion personnelle. C'est encore le cas aujourd'hui avec l'Intelligence Artificielle. Alexandre prétend ne pas prendre partie. Il constate ou feint de constater. Après son livre La mort de la mort, il publie ChatGPT va nous rendre immortels. Médecin qui n'a quasiment jamais exercé, énarque jamais fonctionnaire, il a fait des affaires lucratives, et s'est fait connaître du grand public par ses thèses outrées et fantasmatiques. Il est clairement transhumaniste, mais prétend cacher ses opinions personnelles "qui n'ont aucune importance". C'est l'étrange cas du docteur Jekyll et de M. Hyde.


    Nous n'aurions le choix, selon Alexandre, qu'entre le transhumanisme d'Elon Musk, qui fait greffer des neurones artificiels dans le cerveau de ses propres enfants et le "post-humanisme" d'autres moguls de la Silicon Valley qui veulent télécharger nos cerveaux dans le Cloud. Mais non! M. Laurent Alexandre est, soit une petite Intelligence Artificielle, soit un beau salaud, s'il est encore humain.

     

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  • L'euthanasie, avenir de la médecine?

    sixtine3.jpegLe petit Macron est bien ennuyé. Cet ultra-libéral anglo-saxon est à la tête d'un état-Providence, l'un des meilleurs du monde, mais "en faillite" comme le disait déjà François Fillon, alors premier ministre. Et le petit Macron a considérablement aggravé les déficits, par exemple avec sa gestion calamiteuse du Covid ou encore en refusant d'importer le gaz russe pour consommer le "gaz de schiste" américain, beaucoup plus polluant. Comment s'en sortir? Le petit Macron a pensé à tout, depuis longtemps. Il s'en tirera, par l'euthanasie. Vite, avant les élections européennes.

    Pour les chrétiens, l'euthanasie sur des personnes conscientes est un suicide assisté. Sur des personnes inconscientes, c'est un crime sur ordonnance. Reste un problème qu'il n'a pas inventé, le petit Macron, il faut bien le reconnaître. Le Progrès inhumain de la médecine.

    AVCcouv.jpgParlons d'une question que je connais un peu, l'AVC (Accident Vasculaire Cérébral), sous sa forme la plus grave. Je l'ai déjà évoqué dans un livre, Un idiot dans la ville, Editions Persée.

    Les victimes d'un tel AVC se retrouvent confrontées au problème suivant: tout progresse, mais la neurologie qui lui a sauvé la vie, progresse cent fois, quand la neuropsychologie progresse... trois fois. Les neurologues, ce sont les plus intelligents des médecins, puisqu'ils ont plus de neurones que les autres, ou qu'ils sont aidés par l'Intelligence Artificielle (AI). Les neuropsychologues, ce sont un peu les kinés du cerveau: ils prennent les neurones l'un après l'autre, et leur font faire des exercices... Entre les deux, moi, avec une mémoire ancienne de sexagénaire, une "mémoire immédiate" d'adolescent et un corps de vieillard, je me tire une balle dans la tête.

    Je propose donc que les neurologues fassent un an d'étude en moins, et que les neuropsychologues soient remboursés par la sécurité sociale, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. La fin de vie serait traitée au cas par cas, par les médecins et la famille. Sinon, nos villes seront remplies de morts-vivants qui ne comprendront pas pourquoi ils sont toujours en vie.

    L'euthanasie progressera pour les pauvres dans les hôpitaux  publics et le transhumanisme, se développera pour les riches, en les rendant soit-disant immortels, dans de luxueuses cliniques privées hors de prix. On n'arrêtera pas le Progrès.

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  • Les mamelles de la France

    vache3.jpg

    Oreillette, égérie du salon de l'agriculture 2024, chez elle

    "Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France" disait le grand Sully, et Henri IV, son maître, ajoutait qu'il voulait, pour les plus pauvres "la poule au pot tous les dimanches". En parcourant les allées de la "plus grande ferme de France" cette année encore, on pouvait penser que rien n'avait vraiment changé. La France est toujours la patrie des beaux bestiaux, des belles cultures, et donc de la bonne bouffe.

    A y regarder de plus près, les choses sont un peu différentes, comme l'a montré l'accueil fait par les paysans à Macron, et le nombre de CRS laissés derrière lui, y compris les jours suivants. Certes, la France résiste, encore assez bien, à l'agriculture venue d'ailleurs. D'Ukraine, par exemple: l'UE ouvre largement ses frontières à des céréales, des poulets et d'autres produits ukrainiens n'obéissant à aucune des règles tatillonnes qui submergent les agriculteurs européens.

    Depuis des décennies, les agriculteurs français, toujours moins nombreux, ont du arracher les haies, utiliser massivement les pesticides, pour obéir aux règles de l'UE, imposées par leur ministère et leurs banques. Souvent le Crédit Agricole, devenu l'une des plus grosse banque mondiale, tandis qu'ils connaissent eux le plus fort taux de suicide de France. Mais certains tirent leur épingle du jeu, comme la FNSEA, par exemple, dirigée par un grand industriel de l'agro-alimentaire, et qui cogère l'agriculture française avec le Ministère, depuis la Libération. Sans oublier la grande distribution qui joue le jeu de la mondialisation de la manière la plus cynique.

    Il y avait un refrain qui revenait souvent au salon: "achetez Français!". Nous avons encore ce pouvoir. Même si cela coûte parfois un peu plus cher... c'est le prix à payer.

    Il faudrait revoir Soleil vert, un film américain de Richard Fleischer (1973). Les humains y sont contraints de manger une nourriture extraite de ... mais je ne vous en dit pas plus. Ceux qui ne sont pas contents, dans le film, peuvent toujours choisir l'euthanasie. Dans le film, et dans la future loi Macron.


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  • "Zéro covid"

    chinecovid3.jpgLe président Chinois s'écarterait de la ligne "zéro covid". Des manifestations (notre photo) l'ont fait plier. Il faut dire que cette politique apparaissait surtout comme une manière de contrôler toujours plus parfaitement la population. Aucun virus ne pouvait de toute façon faire plus de morts que communisme en Chine.

    Le courage d'une petite minorité de Chinois est stupéfiant, dans un pays qui combine les pires aspects du capitalisme et du communisme. Il peut aussi nous en apprendre beaucoup sur ce qui se passe en France et en Europe.

    I y avait quelque chose de "Chinois", en France, dans notre "pass sanitaire", désactivable à distance. Mais aussi dans la manière de gérer l'épidémie dans le stress et la parano: personnes âgées confinées autoritairement dans les maisons de retraite, années de scolarité saccagée pour les enfants et les ados, explosion des asiles psychiatriques déjà surchargés, exclusion des soignants non vaccinés des hôpitaux ...

    Je suis peut-être "complotiste", mais j'ai toujours pensé que Giscard n'était pas mort du Covid. Il est mort de vieillesse, voilà tout, et il a rencontré le virus comme il aurait pu se casser le col du fémur. Quant au "pass sanitaire", il a permis de tester une technologie, qui pourra resservir, par exemple, en France, pour un "pass fiscal" très efficace. Si l'administration vous reproche un euro de fraude fiscale, vous ne pourrez plus rentrer dans un café.

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  • M...comme Macron

    covid-ukraine.jpgUne actu chasse l'autre. Leur point commun, c'est la manière dont elles sont traitées toutes deux par les mass-médias et les grands réseaux sociaux: d'une façon totalitaire. Macron venait d'insulter, de manière calculée, les français non vaccinés en parlant de les "emmerder", et déjà, la guerre en Ukraine offrait l'occasion de mobiliser l'opinion publique sur un thème politiquement correct: le nouveau virus, c'est Poutine.

    La minorité, ou supposée telle, c'est à dire les anti-vaccins ou les pros-russes, subira le sort déjà prévu par Jean-Jacques Rousseau dans le Contrat social: "on les forcera d'être libres".

    Je ne sais pas encore pour qui je voterai aux prochaines élections, mais je sais pour qui je voterai pas: "Monsieur M".

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  • Le complot des virologues

    pass-sanitaire.jpgLe Président Valéry Giscard d'Estaing est mort du Covid. Dans les statistiques morbides de monsieur Salomon, il compte pour "un". Or, c'est faux. VGE n'est pas mort du Covid, il est mort de vieillesse, presque centenaire, après une vie bien remplie.

    Imaginons que je meure demain, et que l'on me trouve le Covid. J'aurai l'honneur d'être considéré comme "un" cas, aux côtés de VGE. Or ce serait encore faux, car je serais mort, d'abord du diabète insulinodépendant, ensuite d'un Accident Vasculaire Cérébral, enfin du Covid.

    En revanche, les virologues, qui "voient" les virus, ne voient pas les suicides supplémentaires, causés par le confinement, les tentatives de suicide, les violences conjugales, les dépressions nerveuses, les folies furieuses qui augmentent.

    Lorsque j'ai été frappé par mon AVC, comme je le raconte dans mon livre "Un idiot dans la ville", j'ai d'abord été admis en hôpital psychiatrique, les mains liées dans le dos, puis je suis remonté à la surface, et j'ai pu être soigné. Mais si mes infirmiers psychiatriques n'avaient pas eu de visage, mais un masque à la place, j'y serai encore, en train de hurler à la mort, avec une "camisole chimiques" de médicaments.

    Or ces infirmiers ne quitteront plus leurs masques pendant cinquante ans. La médecine ultra-moderne fabrique des fous furieux. Si j'avais eu mon AVC ces derniers mois, ce n'était pas la peine de me sauver la vie.

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  • AVE CAESAR

    gwencouv.jpegJe ne sais plus lire, je ne sais plus écrire. Tiens, j'ai écrit cela et je l'ai relu. Je sais donc à nouveau lire et écrire, pour la première fois depuis mon accident vasculaire cérébral (AVC), il y a plus d'un an.

    Pour me rappeler ces trois lettres, A,V, C, je dois passer par la formule « Ave César », ancrée dans ma mémoire ancienne. Ave Caesar morituri te salutant, disaient les gladiateurs, ces esclaves-combattants, avant de s’affronter devant le peuple et l'Empereur.

    Je n'avais probablement jamais cessé de savoir lire et écrire, mais je ne le savais pas. J'avais oublié que je savais lire et écrire, ce qui revient au même. La peur panique d'avoir à repasser par le long apprentissage des classes maternelles, la 12ème, la 11ème, la 10ème, toutes les étapes obligées de l'enfance et de l'adolescence, me paralysait. A tort, donc.

    Tout, ou beaucoup, est en train de revenir, contrairement à mes prévisions les plus pessimistes. Tout revient douloureusement, dans le désordre, par blocs. Pour l'instant, tout va, dans la douleur, dans le bon sens... Mais combien de temps ? L'état de ma mémoire est supportable, parce qu'il est provisoire. Reviens, mémoire ! En dehors de toi, il n'y a rien.

    Néanmoins, main droite demi paralysée, vision amputée à droite, mémoire encore largement défaillante, j'écris lettre par lettre, pour me souvenir. Je devrai néanmoins me ménager, cela tombe bien, on écrit toujours trop.

    Je pense à l'effort surhumain de mon frère humain, Jean-Dominique Bauby, écrivant son livre, Le scaphandre et le Papillon, (Robert Laffont, 2011), sans aucun contact avec l'extérieur. J'ose dire, néanmoins, que ma situation est pire encore que la sienne, puisque sa mémoire et son intelligence, selon ce livre, étaient restées intactes. Ce qui n'est pas mon cas. Mais oserais-je envier la situation qui fut la sienne ?

    Tout est mémoire. Rien n'existe en dehors de la mémoire, même si elle est enfermée dans un cerveau sans pouvoir en sortir. « Nous sommes libres dans ce qui dépend de nous », comme le dit un auteur ami, dont j'ai oublié le nom. Nous sommes peut-être tous libres, enfermés dans notre mémoire.

    Bien entendu, l'idée de mettre fin à mes jours n'a jamais cessé de me hanter, de m'occuper jour et nuit, depuis mon accident : tous mes organes, toutes les cellules, tous les atomes qui composent mon corps ont cessé d'avoir envie de vivre ensemble...

    Mais, finalement, tout bien considéré, je vais écrire un livre, plutôt que de me suicider. C'est sans doute une erreur, mais moins grave que la première et le bon Dieu, avec qui je parle de temps à autre, voudra bien me la pardonner, celle-là, la seconde, alors qu'il n'aurait rien pu faire pour la première.

    Je suis étrangement vieux et jeune à la fois – 57 ans – , et ma vie vient de passer par cet effroyable carnage de neurones, dont elle ne se remettra peut-être jamais. Ce livre, j'aurais préféré ne pas avoir à l'écrire, mais, si rien n'est pire que de devenir idiot, rien n'est meilleur que de l'avoir été.

    Lecteur, arrête de le feuilleter distraitement, mon livre, chez le dernier libraire de ton quartier qui ne soit pas encore transformé en restaurent japonais ! Achète-le, nom de Dieu ! Tu verras qu'il parle de choses qui pourraient t'arriver... mais non, n'aie pas peur, bon sang ! Il n'est pas si lugubre que ça. Achète-le, mon livre, ou je me suicide ! hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère...

    Un idiot dans la ville, Editions Persée, diffusion Hachette.

    Merci à Bertrand Jouvenot pour le premier article consacré à Un idiot dans la ville.

     

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  • J'aime Big Brother!

    bigbrother.jpgJe me suis fait vacciner. "J'aime Big Brother!", comme dit le héros à la fin de 1984 d'Orwell. C'est bon, je suis normal, le peux aller au restaurant ou au cinéma, prendre le train, rentrer dans n'importe quel supermarché.

    Je suis donc allé casser la croute dans un petit café, dans une petite ville de province et on m'a demandé mon pass sanitaire, avec QRcode et on a enregistré mon identité! Devant moi, une femme demande un café en terrasse, on lui demande son QRcode! Une amie se fait refuser l'entrée dans un restaurant d'une charmante petite ville de bord de mer.

    Juste un détail: contrairement au malheureux héros d'Orwell, je fais semblant d'aimer Big Brother, mais ne le dites à personne... Et vous?

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  • Un idiot dans la ville

    AVCcouv.jpgUn homme perd son cerveau.

    Tout s'efface et s'effondre avec sa mémoire qui disparaît. C'est comme une bombe qui lui explose au visage et bouleverse totalement son existence. Il est ramené à la vie par les autres, médecins, infirmières et spécialistes, contre son gré et à son corps défendant.

    Puis il doit se reconstruire, bon gré mal gré, à partir de rien, son cerveau vide, dans lequel ne subsiste que l'idée de Dieu. Comme dirait Descartes. .

    Pierre de La Coste, probablement âgé d'une cinquantaine d'années, a publié plusieurs romans et essais. Il était cadre dans une grande entreprise française de communication et a été conseiller de plusieurs ministres, avant d'être victime d'un grave Accident Vasculaire Cérébral.

    Dans ce roman, largement anti-autobiographique, humoristique et surréaliste, il se suicide plusieurs fois.

    A paraître aux éditions Persée, diffusion Hachette livres

     

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  • Après le vaccin, l'euthanasie?

    euthanasie.jpgOublions un instant les erreurs du gouvernement, les vaccins qui n'arrivent pas, les entreprises paralysées, l'éducation sinistrée, les subventions jetées par les fenêtres, les hôpitaux débordés dans certaines régions de France, et tout ce que j'oublie.

    Tentons de nous tourner vers l'avenir. Tous les déficits ont explosé, et plus que jamais des pays comme la France vivent à crédit. Des secteurs entiers de l'économie mettront des années à se relever ou ne se relèveront jamais. Mais il y a bien pire. Les dépressions nerveuses explosent, disent les psychiatres. Suicides et tentatives de suicide, viol et violences conjugales augmentent, mais on ne saura jamais leur nombre.

    Les enfants et les adolescents, épargnés par le virus, ne le sont pas par la pertes d'années et de mois d'éducation et de formation essentiels, nous disent timidement des spécialistes de la psychologie enfantine. Tout cela pour sauver des morts vivants ... comme moi (diabétique insulinodépendant, victime d'un grave AVC). La plupart des victimes du Covid seraient mortes dans un mois, deux mois, six mois... Certes, si l'on avait eu autant de lits d'hôpitaux qu'en Allemagne, on aurait pu en sauver plus, mais sinon, eh bien, la mort fait partie de la vie.

    La médecine ultramoderne n'a pas mal soigné, elle a trop bien soigné. Résultat: combien de vielles dames en soin intensif dans les maisons de retraites médicalisées sont mortes de chagrin sans pouvoir embrasser leurs petits enfants? Si l'on veut supprimer la mort, il faut supprimer la vie. Pour moi, je préfère prendre le risque de vivre. Il est donc certain que la médecine ultramoderne "vaincra" le virus et va crier victoire. Elle recommencera à sauver toujours mieux les morts vivants, en creusant encore les déficits et les dettes publiques. Mais les financiers et les assureurs ne l'entendront pas de cette oreille. Le processus de légalisation de l'euthanasie est déjà en cours. Il va s'amplifier. On prolongera à l'infini des vies de plus en plus intolérables et la tentation du suicide assisté par la science et la médecine s'imposera sourdement. L'euthanasie est l'avenir de la médecine.

    Joyeuses Pacques quand même.

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