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  • Complot

    hold-up.jpgCette vidéo fait fureur en ce moment sur internet. Les mass-medias la dénoncent déjà comme "complotiste". C'est une synthèse un peu longue (2H40) de tous les mensonges, les erreurs politiques, les escroqueries médicales et scientifiques qui ont entouré depuis l'origine l'affaire du covid19.

    Avec des moyens très faibles (une levée de fonds sur internet) les auteurs de cette vidéo font mieux que les chaines de télévision financées par l'argent public ou la publicité.  Nous en avons déjà parlé à plusieurs reprises sur ce blog (affaire The Lancet, docteur Raoult, affaire des masques) mais l'effet d'ensemble est saisissant. Jugez-en par vous même.


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  • Le virus, c'est le masque!

    virus-masque.jpgPriver de visage la moitié de l'humanité au nom du principe de précaution. Pour voir si le jeu en vaut la chandelle et nous retrouver au milieu du déluge de chiffres que nous assène les mass-media, je me permettrai de parler de ma petite expérience personnelle.

    J'ai été victime, il y a quelques années d'un grave accident vasculaire cérébral (AVC). Il m'a valu trois mois d''hospitalisation et la rééducation continue encore. Dans le contexte actuel, je n'aurai pas dépassé le stade de l'hôpital psychiatrique. Les infirmiers y étaient certes plus costauds qu'aimables, mais, au moins, ils avaient un visage! S'ils avaient portés des masques, je ne serai pas passé aux gentilles infirmières qui se sont occupées de moi pendant des semaines encore. Si elles avaient porté un masque, comme les neuropsychologue, orthophoniste, kine et autres spécialistes, je ne serai jamais sorti de l'hôpital, sinon pour me jeter sous un métro, au milieu des usagers sans visage.

    - Nous vous avons bien compris, répondront les politiques et les médecins politiques, et nous tâcherons de gérer les personnes qui arriveraient dans hôpitaux avec un cas comme le vôtre. Puis, dés la pandémie passée, tout redeviendra normal...

    Bien, imaginons maintenant que je meure demain matin, avec le coronavirus. Je serai un cas de plus recensé sur vos statistiques. Or, ce sera faux, je mourrai du diabète insulinodépendant, de l'AVC, de mes problèmes cardiaques. Le virus serait la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Et encore, supposez que je me trompe dans mes nombreux médicaments: le virus ne serait pas une cause nécessaire et suffisante de ma mort.

    - Très bien, répondront-ils, nous avons demandé à l'intelligence artificielle de nous piloter. Même en tenant compte des cas que vous évoquez, nous voyons bien l'augmentation des hospitalisations et du nombre des morts.

    Votre intelligence artificielle ne tient pas compte d'une chose: ceux qui meurent aujourd'hui seraient morts dans un mois, dans deux mois, dans trois mois, dans un an peut-être, parce que les victimes sont en priorité vieilles et malades, comme moi. Votre attitude est celle de la Chine. Un pays vieillissant, qui sacrifie l'avenir au présent. Une Francochine, une Chineeurope. Mais les démographes nous disent déjà qu'ils ne "voient" pas la pandémie dans leurs statistiques. Tous les chiffres sont faux ou biaisés.

    On veut faire croire à la population que le chiffre des contaminations est celui des morts (10.000 personnes au total en France), ce que croient dur comme fer de nombreuses personnes âgées, paniquées. Elles mourront peut-être de chagrin sans revoir leurs petits enfants. Et l'on oublie, en revanche, le nombre des suicides, de tous ceux qui perdent leur moyens de vivre, ou l'entreprise dans laquelle ils avaient mis toute leur raison de vivre. Mais l'intelligence artificielle ne connaît pas les suicides.

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  • La guerre de ses sessions

    USA.jpgPersonne ne sait encore qui a gagné, mais le spectacle, vu d'Europe nous semble sidérant. Les USA nous semblent au bord de la guerre de sécession, c'est à dire de la guerre civile. Mais on peut aussi se demander si les défauts apparents des USA ne font pas, au bout du compte leur force. Les déchirures internes sont peut-être absorbées par la souplesse du système.

    Les USA sont un Etat fédéral qui frise parfois la confédération d'états. Les gouverneurs disposent de certains pouvoirs régaliens, comme le droit de grâce. La peine de mort existe da Lns certains états et non dans les autres. La garde nationale, entre les mains des gouverneurs, ressemble parfois à de petites armées, très bien équipées. Les polices sont très largement entre les mains des autorités locales. Quant aux juges, ils sont généralement jaloux de leur indépendance.

    La guerre de sécession a eu lieu une fois et ne risque pas de se reproduire de sitôt, même sur le plan politique. Peut-être parce qu'elle se produit en permanence.

     

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