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Le virus, c'est le masque!

virus-masque.jpgPriver de visage la moitié de l'humanité au nom du principe de précaution. Pour voir si le jeu en vaut la chandelle et nous retrouver au milieu du déluge de chiffres que nous assène les mass-media, je me permettrai de parler de ma petite expérience personnelle.

J'ai été victime, il y a quelques années d'un grave accident vasculaire cérébral (AVC). Il m'a valu trois mois d''hospitalisation et la rééducation continue encore. Dans le contexte actuel, je n'aurai pas dépassé le stade de l'hôpital psychiatrique. Les infirmiers y étaient certes plus costauds qu'aimables, mais, au moins, ils avaient un visage! S'ils avaient portés des masques, je ne serai pas passé aux gentilles infirmières qui se sont occupées de moi pendant des semaines encore. Si elles avaient porté un masque, comme les neuropsychologue, orthophoniste, kine et autres spécialistes, je ne serai jamais sorti de l'hôpital, sinon pour me jeter sous un métro, au milieu des usagers sans visage.

- Nous vous avons bien compris, répondront les politiques et les médecins politiques, et nous tâcherons de gérer les personnes qui arriveraient dans hôpitaux avec un cas comme le vôtre. Puis, dés la pandémie passée, tout redeviendra normal...

Bien, imaginons maintenant que je meure demain matin, avec le coronavirus. Je serai un cas de plus recensé sur vos statistiques. Or, ce sera faux, je mourrai du diabète insulinodépendant, de l'AVC, de mes problèmes cardiaques. Le virus serait la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Et encore, supposez que je me trompe dans mes nombreux médicaments: le virus ne serait pas une cause nécessaire et suffisante de ma mort.

- Très bien, répondront-ils, nous avons demandé à l'intelligence artificielle de nous piloter. Même en tenant compte des cas que vous évoquez, nous voyons bien l'augmentation des hospitalisations et du nombre des morts.

Votre intelligence artificielle ne tient pas compte d'une chose: ceux qui meurent aujourd'hui seraient morts dans un mois, dans deux mois, dans trois mois, dans un an peut-être, parce que les victimes sont en priorité vieilles et malades, comme moi. Votre attitude est celle de la Chine. Un pays vieillissant, qui sacrifie l'avenir au présent. Une Francochine, une Chineeurope. Mais les démographes nous disent déjà qu'ils ne "voient" pas la pandémie dans leurs statistiques. Tous les chiffres sont faux ou biaisés.

On veut faire croire à la population que le chiffre des contaminations est celui des morts (10.000 personnes au total en France), ce que croient dur comme fer de nombreuses personnes âgées, paniquées. Elles mourront peut-être de chagrin sans revoir leurs petits enfants. Et l'on oublie, en revanche, le nombre des suicides, de tous ceux qui perdent leur moyens de vivre, ou l'entreprise dans laquelle ils avaient mis toute leur raison de vivre. Mais l'intelligence artificielle ne connaît pas les suicides.

Lien permanent Catégories : politique, Santé 2 commentaires

Commentaires

  • Je ne sais pas ce “ qu’ils ” peuvent répondre ... L’intelligence artificielle, selon un de ses créateurs, n’a rien à voir avec l’intelligence. Encore moins avec des sentiments.
    On peut s’étonner que les données, nombre de tests, etc. soient instantanément connues maintenant. On connaît les résultats de la veille à 00:01 !
    Cet exposé est très clair et véritablement nous sommes forcés de marcher sur la tête. Je pense cependant qu’il va être difficile de nous faire DEUX fois le coup du confinement. Véran indique déjà une légère baisse des cas. Ce n’est pas un hasard : le populaire gronde .... les décisions stupides sont flagrantes ( pour Castex, on comprend que le coiffeur ne soit pas une nécessité ).
    Et en effet, les décès que l’on étiquette “ Covid ” ne le sont sans doute pas. La Belgique a fait plus simple : un mort = Covid. Je pense qu’ils voulaient tricher : ils pensaient que c’était une compétition.

  • L'utilisation généralisé du masque n'est pas sans conséquences psychiatriques. Les services de psychiatrie sont actuellement bondés.

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