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Je rêve d'un monde sans masque

Comparaison n'est pas raison, certes, mais comparaison aide à la raison. Ce tableau n'est pas un outil de travail. Il aide à se faire une idée sur le corona virus, à relativiser son impact.

Il faudrait encore multiplier les comparaisons. Après le confinement brutal des familles recomposées, le nombre des violences conjugales à explosé, les séjours à l'hôpital et les consultations médicales pour une autre cause que le corona, eux se sont effondrés. Mais comment comparer? Il ne s'agit d'ailleurs pas, généralement, de décès, mais de retards et d'aggravations de problèmes médicaux. Et que dire des grand-mères qui mourront de chagrin dans leurs maisons de retraite, sans avoir pu embrasser leurs petits enfants? Et seraient-elles mortes? Ou bien auraient-elles repris goût à la vie grâce à un bisou?

Tout cela est encore maitrisable en France et dans les pays européens, mais comment calculer les risques lorsque l'on compte, à l'échelle de milliards d'habitants? Comment parler d'économie, de chômage, de crise budgétaire, quand on nous parle de morts? Une seule vie humaine ne vaut-elle pas davantage qu'un point de croissance? Le principe de précaution appuyé sur l'intelligence artificielle, peut nous amener n'importe où. L'idéologie, c'est partir d'un principe, qui peut être juste, et d'en faire un absolu, au mépris de tout le reste: la lutte des classes, ça existe, mais en faire un absolu unique, c'est du totalitarisme.

Nous n'avons finalement qu'une seule certitude. On nous a dit que les masques étaient inutiles, parce qu'il n'y avait pas de masques. Un autre intelligence artificielle, pilotée autrement, avait fait fabriquer 100% des masques en Chine. La seule certitude? Macron a menti.

 

Lien permanent Catégories : politique, Santé 0 commentaire

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