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La mondialisation des virus

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Généralement, le virus est un parasite, pas un prédateur. Il cherche à vivre pacifiquement au dépend d'un autre organisme, sans le tuer. Si celui-ci meurt, souvent, il meurt aussi. A l'époque paléolithique, certains virus étaient bien organisés pour vivre aux dépens de l'homo sapiens, en bonne intelligence.

Les choses se sont compliquées avec le néolithique et l'invention de l'agriculture, nous dit par exemple Jared Diamond. L'homme cesse de disperser ses excréments dans la nature et les fixe sur place en trop grand nombre, mais la population des uns et donc des autres reste minime.

L'invention des villes augment considérablement les risques de contagions, comme la grande peste du moyen âge. L'homme se défend par des mesures d'isolement, puis des vaccins et des antibiotiques. Les microbes encore plus déstabilisés, disparaissent ou s'adaptent, en mutant.

Puis vient la mondialisation, des hommes, des marchandises, des plantes, des spores, des animaux, et des microbes. Nous en sommes là, mais cette fois-ci, nous en sortirons-nous sans "démondialiser"?

Ca y est, Sofi a acheté du riz, des pâtes et des masques.

Lien permanent Catégories : politique, Voyage 1 commentaire

Commentaires

  • Démondialiser sûrement. C'est-à-dire restaurer les frontières à l'extérieur et les supprimer à l'intérieur. Comme une cellule vivante. Et une Nation est vivante !

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