Osez vivants aux ports fusains de la Toscane
Vous rassasier d'azur et de lotus natal
J'ai trop laissé douter de mon élan vital
Les frais rosiers coupés dont le pistil se fane
Beautés du Styx et des aurores boréales
Toujours rimées d'amour ô mes fiancées d'antan
Je suis l'enfant du jour jouant au firmament
Qui fredonne à jamais des rimes idéales
Dansez d'un pas léger en l'île aux lotophages
Sans fin sans fin laissée au sable blond des plages
Chez moi vois-tu plus clair parfait oubli du mal
De ce dernier sonnet sachez garder l'image
Et cet instinct subtil gavé de miel sauvage
Vous êtes tous élus hors le pendu fatal